L’aisance et la quiétude ça se transmet et ça s’entraine : être bien ça se cultive et ça se transmet.
Car la lumière est là, encore faut il se donner la peine d’aller la chercher.
La vie est colorée de la manière dont on la regarde. La vie n’est qu’un reflet de notre psyché.
Mais être bien demande de la concentration et de l’entrainement.
Faites vos choix et mettez à profit vos propres erreurs.
Nous passons beaucoup de temps à nous protéger des dangers qui n’existent pas.
Nous hésitons à donner notre amour de crainte qu’on en profite. Le résultat est que nous vivons dans des cocons, dans nos petites vies tièdes.
C’est à dire que le prix à payer de la sécurité est telle que nous l’avons imaginé, rêvé.
Faites vos choix et mettez à profit vos propres erreurs.
Mettez en place vos rêves et vos projets.
Rêver c’est créer de l’imaginaire.
Attendre, c’est rêver l’avenir sans mettre le présent à sa disposition.
Si l’on a un projet en tête, il faut s’en occuper. Qui est le mieux placé pour croire dans son propre projet que vous–même.
Certaines personnes finissent par se représenter l’attente. Ils ne vivent que par l’imagination.
Cette attitude est souvent héritée de l’enfance.
L’enfant n’a pas toutes les données en main pour atteindre le bonheur. Il est trop petit pour voler de ses propres ailes. L’enfant est en « stand by ».
Si l’enfant ne reçoit pas tout l’amour qu’il aurait du recevoir de son ou des ses parents, il est en attente.
Cette attente forcée lui fait prendre des mauvaises habitudes. Ce qui le sauve est son imagination. Cette imagination lui permet d’échapper à une réalité trop pénible.
Nous sommes prisonnier de nos rêves et esclaves de cet esprit qui sans cesse vagabonde vers une utopie.
Les gens finissent par avoir une conception du bonheur qui n’est que la résultante du manque qu’ils ont connu dans le passé ou de leur imagination.
Rajustez votre projet en fonction de ce que vous êtes devenu.